Toora Nishimura

♦ Nom ♦
Toora

♦ Prénom ♦
Nishimura

♦ Âge ♦
20 ans

♦ Date de naissance ♦
21 décembre 1992

♦ Pays d'origine ♦
Japon

♦ Race ♦
Démone

♦ Orientation Sexuelle ♦
Bisexuelle

♦ Emploi ♦
Médecin - Légiste / Médecin - Infirmière
( en possession des deux diplômes )

♦ Taille ♦
1m65

♦ Poids ♦
49kg

Toora est une jeune femme dont la peau est assez pâle voire aussi blanche que les vampires, tout autant que ces blancs cheveux sortant leur pointe d'une capuche accroché à une longue veste de même couleur traînant par terre. Sous cette "cape", un corset à laset surmonte une jupe légère aussi noire que tout le reste. Grâce à ses vêtements, Toora peut facilement cacher ses ailes faites de plumages de corbeaux ainsi que ses dures cornes dressées sur sa tête. Toora a les doigts fins dont aucun ongle ne dépasse de la longueur de son doigt. Un léger sourire nerveux s'accroche souvent sur les lèvres de la jeune démone malgré ses traits faciales modelés avec grand soin.

Toora est très souriante malgré ce qu'elle est. Elle cherche beaucoup les ennuies avec les gens, et pourtant peu d'entre eux sont ses ennemies au contraire. De plus, celle-ci tient beaucoup de son caractère démoniaque ce qui lui donne ses envies d'avoir une proie, un jouet. Dans certains moments, la personne visée sera étrangement qu'elle est ciblée tout en sentant une horrible sensation de gêne procurée par le vague sourire de Toora. Malgré ses petites différences, Torra est quelqu'un de très peu ordonné, dont la mémoire lui joue beaucoup de tour, un gros inconvénient. Pour finir, celle-ci accepte totalement la mort et la laisse complètement indifférente.

Née au Japon sur l'île de Hokkaido à Sapporo, Toora fut abandonnée dans les quartiers de sa ville natale. Des années passèrent, lentement et insurement, entre les bras de plusieurs prostituées de rues puis seule dès ses 6 ans. A cette âge là, Toora était encore inconsciente de ce qu'elle était réellement et elle ne le su qu'à ses 12 ans où ses ailes et ses cornes se manifestèrent très rapidement. Terrorisant énormément de gens malgré sa petite influence de jeune adolescente, Toora ne savait plus vraiment quoi faire et pourtant un homme dont le visage carbonisé l'avait "ramassé" parmis les débrits des ruelles de Sapporo. C'était un homme riche dont la puissance n'était que peu présente : Monsieur Nishimura. Sans plus tardé, le brave homme l'amena chez lui, à Tokyo, et l'avait inscrit dans les écoles les plus prestigieuses et Toora suit le rythme en envisageant des études de médecine chirurgicale permettant à son nouveau père de retrouver un visage lisse et parfait. Malheureusement, peu après ses débuts dans une école d'infirmière, son père décéda d'une maladie incurable. Sa fille adoptive resta longuement sur la touche et finit par se relever afin de reprendre des études... de médecin-légiste. Lors de ces années, Toora avait vécu le pire car après la mort de son père et être entrer dans une nouvelle école peu approprié pour les femmes, elle se devait de vendre sa maison luxueuse afin de ne pas finir à la rue. Et pourtant... ces dures années... ne l'achevèrent pas. Pas encore... La vingtaine approche, Toora allait enfin sortir de l'école de médecin-légiste. Elle allait enfin avoir un travail et pouvoir vivre normalement sans devoir manipuler des gens pour leur soutirer des services et de l'argent volé. Vingt-ans, une première journée de travail simple comme toutes celles qui allaient s'annoncés dans les années à venir mais... en fin d'après-midi, alors qu'elle sortait de l'hôpital de Tokyo en direction de son appartement, une voiture conduite par un homme fortement influencé par l'alcool passa sur le trottoir et fit dix morts. Toora en faisait partie...
Son corps était d'une froideur surprenante, et pourtant ses yeux s'ouvrirent. Un rideau filtrait légèrement la lumière dehors et la pièce était blanche, comme dans un hôpital. Les rôles se seraient-ils inversés ? Toora eut rapidement sa réponse. Elle sortit du lit et s'avança vers le fenêtre. Tout d'abord, ses yeux s'étaient plissés sous la lumière dérangeante puis elle découvrit un lieu peu commun, un lieu où elle n'était jamais aller comme tant d'autre. Est-ce le Paradis ? Son visage fit une expression de dégoût total et elle pensa immédiatement à son changement radicale de métier. Quel Enfers !