Runessansu Shima
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 L'appentie-ébéniste [PV Jim]

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Riley Atwood

Riley Atwood


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MessageSujet: L'appentie-ébéniste [PV Jim]   L'appentie-ébéniste [PV Jim] EmptySam 12 Jan - 0:36

Ça faisait déjà quelques temps qu'elle était ici, le temps passait sans plus, de simples querelles rencontraient sa route ou un ange. Elle eut un sourire froid juste à cette pensée. Bien entendue, elle avait eu droit à une punition. Elle n'allait plus pouvoir sortir avant un bon moment. Et puis quoi encore?! Qu'allait-elle faire pendant que Shiki allait en cours? Personne ne lui tiendrait compagnie. Ainsi, elle entamait sa troisième journée seule. Peut-être que Shiki allait faire irruption à l'appartement à l'heure du dîner, qui sait? Avec des amis... En avaient-ils? Surement, tout le monde devait lui lécher les bottes étant le fils du grand Akuma...

Elle soupira et finit par mettre la radio. Encore une fois, elle eut droit à des chansons de Noël en boucle, d'une station à l'autre, rien ne changeait. Elle lança alors la radio sur le plancher et le reste de cette phrase prit une voix beaucoup plus grave avant de s'éteindre complètement. Soulagement, pensa Riley. Noël... Noël c'est une raison de prouver aux gens qu'on les aime en leur offrant des cadeaux… Noël, c'était une autre raison pour faire dépenser inutilement les gens... Et bien, elle venait juste de trouver une raison maléfique d'aimer Noël. Elle sourit gaiement en passant dans le couloir, aussitôt qu'elle se vit dans la glace, elle se renfrogna et ravala ce sourire idiot. Habituellement, ce sourire aurait été un sourire sadique, non? Non, jamais elle allait aimer Noël de toute façon, point à la ligne.

C'est alors qu'on sonna à la porte. Un voisin pour se plaindre, surement, ils ne savaient pas que le téléphone existait? Mais pourtant aussitôt que la personne prit la parole, elle se figea sur place. Une boule gagna sa gorge. Elle ne voulait ouvrir, elle ne pouvait ouvrir. Ses jambes avaient décidé de ne plus avancer. Mais pourquoi était-il là? Pourquoi lui? Pourquoi cette simple voix la rendait si impuissante. Sale traître.

C’était bien entendue Akuma en personne. Elle ravala sa salive et ne dit rien, de toute façon, elle ne pouvait pas ouvrir la porte, elle ne pouvait ouvrir la porte de l’intérieur qu’avec la clé que Shiki avait en permanence sur lui. Et puis, un bruit de clé dans la serrure… Akuma était devant elle, paire de talons hauts à la main et un support avec un pantalon et une chemise qu’il tendit à Riley. Elle regarda de plus près, c’était sa taille tout. Il n’avait pas oublié. Ça la fit presque sourire, j’ai bien dit presque. Elle tendit la main pour prendre les talons hauts aussi. D’ailleurs, ils étaient vraiment beaux. Elle ne croyait pas en avoir besoin, mais bon… Elle se rappela soudain la taille assez monstrueuse des autres hommes de la place. Peut-être qu’elle quitterait ses bottes pour une fois, après tout, ils étaient magnifiques ses talons.

-Et je suis sensé faire quoi avec ça?, dit elle en fronçant les sourcils sans montrer l’amour qu’elle portait déjà à cette superbe paire de talons hauts.

Elle faillit s’étouffer lorsqu’Akuma lui expliqua la raison de sa visite et de ses vêtements neufs. Elle allait quoi? Elle allait devoir être assistante-ébéniste? Vraiment?! Elle alla enfiler les vêtements qu’Akuma lui avait apportés sans rechigner comme elle l’aurait fait si cela avait été Shiki. Elle se regarda ensuite dans la glace, contemplant l’effet que ces vêtements faisaient. Elle était digne d’un mannequin dans le moment. Ses longues jambes étaient mises en valeur et semblaient interminables dans ce jeans cigarette noir sans parler qu’elle était sur ces escarpins noirs qui étaient rouges en dessous. Elle portait aussi une chemise blanche semi-transparente avec des manches à peine plus longue que ces épaules rentré dans ces jeans qui lui montait jusqu’à la taille. Bref, un habit assez sophistiquée et qui ferait tourner de l’œil certains de la gente masculine.

Elle arriva enfin à la boutique de meubles, elle hésita avant d’entrer. Après tout, qu’avait-elle de mieux à faire? Une petite cloche indiqua sa présence, pourtant, personne ne vient à sa rencontre. Elle se promena entre les allées avant de s’arrêter devant les meubles assez anciens qui n’avaient aucune poussière étonnamment. Elle caressa le cerisier rouge de sa main, avant de se mettre en petit bonhomme, technique assez risqué sans pourtant qu’elle tombe sur les fesses où quoi que se soit. Elle regardait les gravures dans le bois, suivant les contours avec le bout de ses doigts, totalement ramené à ces anciennes boiseries, ce meuble devait certainement faire partie des antiquités, comme elle. Peut-être que finalement elle ne serait pas si inutile que ça dans la boutique. Sinon, elle savait toujours faire la caisse! Elle vit alors dans son champ de vision des souliers et elle entendit la voix de quelqu’un sans trop discerné les paroles en tant que tel. Alors qu’elle se fit la conclusion que le garçon était un employé, elle se releva avec empressement se cognant presque la tête sur celle du garçon, par chance, elle évita l’accident de justesse.

-Je ne vous avez pas vu jeune homme, dit-elle sans s’excuser, après tout, elle n’avait pas à s’excuser, car premièrement, elle ne s’excusait jamais, et deuxièmement, elle l’avait évité, donc s’excuser de quoi?

Une fois toute redressé, elle remarqua la taille assez petite du jeune homme en face d’elle, elle avait bien dit jeune homme et non monsieur, car bien qu’en apparence il puisse paraître plus vieux qu’elle, elle savait très bien qu’elle avait une bonne longueur d’avance sur lui. Elle avait remarqué que les yeux de Jim étaient d’un bleu assez perçant bien qu’à la hauteur de ses yeux, elle ne voyait que le toupet des cheveux blanc comme neige du garçon. Elle aurait été portée à retirer ses talons, mais elle n’avait pas ses bottines sous la main.

-Bonjour, je m’appelle Riley Atwood. Je suis en quelque sorte la nouvelle assistante ébéniste.

Et comme une fille de bonne école, elle lui tendit la main après avoir dit son nom sans trop d’objection. En quelque sorte, elle n’était pas contre ce contact physique, elle avait sentit qu’il était humain, mais il y avait quelque chose de plus, quelque chose qu’elle n’avait pas vraiment réussit à comprendre. Bien qu’elle ait passé cinquante décennies en ce monde, elle ne pouvait expliquer ce qu’il avait de différent, ni même sa propre curiosité face à ce simple mortel.
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Jim Darach

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MessageSujet: Re: L'appentie-ébéniste [PV Jim]   L'appentie-ébéniste [PV Jim] EmptyMar 29 Jan - 14:00

C'était une journée bien relaxe. Le centre commercial était bien tranquille et presque personne dans les environs. J'en avais profité pour me mettre au travail. Habituellement, je prenais toujours une attention particulière à la porte d'entrée et en profitais pour y faire l'inventaire ou quelque croquis. Je n'ouvrais pas toujours les portes de mon magasin. Je ne les ouvrais que trois jours par semaine, pour me laisser le temps de faire les commandes. Que ce soit une chaise ou bien un meuble de rangement, il me fallait assez de temps pour les fabriquer. Il était certain que j'en faisais certain a la maison, mais je l'évitais le plus possible, pour ne pas embêter le voisinage. Je m'étais donc mit, pendant cette journée calme, sur un petit coffre pour y mettre des couvertures, au rebord d'un lit. J'étais rendu à la meilleure partie de mon métier, les détaille de la finition. Un peu de sablage et des touches de sculpture. C'était la partie la plus longue, mais elle donnait tout le résultat final. Pour ceci, j'avais ressues une image qu'une dame voulais que je mette sur le dessus du coffre. C'était une magnifique petite fermette avec une belle palissade tout autour. Plusieurs petits animaux a son centre, avec une femme qui puise de l'eau a la rivière, qui traverse la petite vallée. Tout pour m'insister à sortir dehors et prendre l'aire.

Je venais tout juste de finir le sablage du coffre, quand j'entendis un bruit dans l'avant boutique. Je n'avais surement pas entendu la clochette, à cause de ma sableuse. Je me levai donc les mains dans le lavabo et me dirigea vers l'avant boutique, linge en main. Une femme, assez grande était accroupie devant un meuble antique, qu'un homme m'avait vendu. Il disait qu'il prenait trop de place dans son salon où il venait d'emménager. Enfin bref, je me dirigeai a ses cotées et lui dit:


-Bonjour! Vous êtes intéressé?

Je du certainement la sortir de ses penser, sans qu'elle s'en y attendre, parce qu'elle c'était lever d'un coup et percuta presque ma tête. J'eu un petit effet de recule, bien que si j'aurais resté en place, je n'aurais pu percuter sa tête. Apres s’etre resaisie, elle prit la parole :

-Je ne vous avez pas vu jeune homme.

Je fus surprit par cette approche. Avais-je l’aire aussi jeune? Pourtant, il était évidant qu’elle était plus jeune. De toute manière je ne fus pas cependant offusquer de cette remarque, juste surprit.

-Bonjour, je m’appelle Riley Atwood. Je suis en quelque sorte la nouvelle assistante ébéniste.

-Ha, on ne m’avait pas prévenu de votre venu, dis-je avec un sourire. Eh bien cela tombe bien, j’ai une autre commende qui n’a pas été commencé. Vous connaissez quelque chose en ébénisterie?

Bien qu’en la regardant, je savais déjà la réponse. Elle est venue ici avec des escarpins. Ce n’était pas pour rien que j’avais cru qu’elle était une cliente. Bien que même si elle ne savait pas le métier, elle me serait quand même utile.

(Ouais, je sais que c'est pas beaucoup. La preuve que je dois me remettre en forme. Razz Tu me le dit s'il y'a quelque chose. Wink )
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Riley Atwood

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MessageSujet: Re: L'appentie-ébéniste [PV Jim]   L'appentie-ébéniste [PV Jim] EmptyMer 30 Jan - 17:13

Elle touchait le cerisier sauvage, complètement en transe par ses années passées qui osaient souvent la rattraper. Rien de bien émotif, laissant ses iris rouges. Rouges sangs, qui allaient certainement alarmer l’employé qui allait avoir la mauvaise tâche de la former. Akuma devait certainement avoir parlé de ces détails avec le gérant, comment avait-il d’ailleurs réussit à convaincre ce sois disant monsieur vu son caractère de chien qui avait certainement été mentionné, avait-il usé de son rang? Assez pathétique se disait intérieurement notre fille aux cheveux d’ébènes laissant ses pensées s’égarées. Elle était comme de la chair fraîche ici, peut-être qu’elle aurait affaire à quelqu’un d’assez strict. Elle touchait le moindre creux dans le bois sur le bout de ses doigts, comme le sculpteur avait dut faire de nombreuses fois avant elle. Chaque courbes étaient bien lisse, tandis que l’essence du bois de merisier était bien polit lui donnant ainsi un brillant impeccable.

Dès que Riley prit conscience d’une autre présence, elle se releva, risquant d’accrocher de près la tête du jeune homme qui avait reculé sous le coup. Riley qualifia le physique du garçon d’assez mignon et de glacial, même son attitude semblait l’être, bien qu’elle trouve cela assez étrange qu’il ne lui prenne pas la main comme le ferait toute bonne personne ayant la moindre politesse. Elle aurait bien été du genre à lui faire part de ce manque de politesse, mais tout ça devait venir de son non-excuse. Elle ne chercha pas plus loin à comprendre l’attitude du garçon qui avait semblé surpris lorsqu’elle lui avait dit jeune homme. Elle avait déduit, comme à tous les coups, qu’il était certainement surpris vu son apparence assez jeune et qu’elle osait dire jeune homme. Wow, il était un de ses rares hommes à ne pas être offusqué, mais pourtant, rien n’avait sortit de la bouche du garçon après.

Elle reprit alors la parole en tendant la main. Aucune réaction du garçon, non, il avait plutôt les mains dans un torchon. Sans se soucier de prendre sa main, il posa son regard sur ses escarpins après avoir parler de l’emploi. Quoi, ce n’était pas un entretien, elle était déjà engagée et elle commençait aujourd’hui, à l’instant même? Mais pourquoi Akuma lui avait alors donné des escarpins? Elle pestait sérieusement à l’intérieur, ce devait peut-être un peu paraître, mais elle essaya de sourire vu la situation. Elle pourrait avoir au moins une anecdote sur cette île maudite! Elle en voulait à Akuma, mais bon, une curiosité vient la titiller jusqu’à l’intérieur de son estomac. Il avait quelque chose, elle essayait vainement de trouver ce qui agitait tant ses hormones à propos de ce garçon dans la trentaine tout au plus. Il était humain, mais son aura comme un phénomène surnaturel lui indiquait qu’il avait plus encore à offrir, mais quoi? Elle sentait la chaleur de son sang battre dans ses veines comme jamais. Elle devait le percer à jour! Voilà la mission qu’elle se lançait pour aujourd’hui, on se distrait comme on le peut, pas comme on le veut. Si seulement il lui aurait pris la main, elle aurait su, elle aurait pu comprendre son passé, et savoir se qu’il était. Alors qu’elle pensait que ce phénomène était du par une certaine attirance, il était réellement du à une sorte de réaction à la présence d’un humain qui possède des pouvoirs de cryokinésie alors qu’elle en possédait de pyrokinésie. Le feu et la glace, ça n’allait pas être de tout repos pour la démone qui semblait encore dans l’adaptation des vibrations de ce monde. , aurait-elle voulu dire en n’ayant pu réussir à ne pas lire dans les pensées du garçon lorsqu’il avait porté ses yeux sur sa merveilleuse paire d’escarpins, au lieu de quoi elle répondit :

-Les apparences sont quelques fois trompeuses mon cher, dit-elle un sourire en coin avant de le laisser bredouille derrière elle, visitant les lieux.

Ou plus précisément, elle se dirigea vers l’arrière-boutique là où il se trouvait tout à l’heure. Bien qu’elle ait des escarpins, ses mouvements n’en étaient pas affectés, même que ça lui permettait de se déplacer plus rapidement, réussissant à faire des enjambées plus grande que lui.

-Mais je dois avouez que l’ébéniste n’est pas ma tasse de thé, mais j’apprends vite, dit-elle au garçon. Hum, ça te conviens que je t’appelle Irish Man?

Elle faisait référence à son accent et aussi au fait qu’il ne s’était toujours pas présenter à Riley. Elle n’aimait pas vraiment cela, mais bon, c’était lui qui voyait. En marchant, elle réfléchissait à ces atouts par rapport à cet emploi, et bien, elle savait reproduire exactement les images qu’elle voyait, après tout, en tant qu’escroc être un artiste c’est assez pratique et elle avait déjà été pirate, donc bateau, bois, non? Elle avait mainte fois dut réparer la coque et remplacer quelques planches pourries ou ronger par les insectes. Devait-elle lui en parler? Aucune idée, elle fit cependant semblant de penser à voix haute.

-Hum, je suis une bonne artiste tout de même, reproduire des images c’est mon fort. Et puis, le bois, ce n’est pas difficile à comprendre, j’ai pendant longtemps étudié les bateaux, il me reste plus qu’à prendre connaissance des essences, lesquelles sont les plus friables, lesquelles sont plus facile à travailler et le tour est joué!, dit-elle pas si fort que cela avant de dire plus fort à l’intention du garçon. J’essayerai d’être la plus utile possible, j’ai quand même quelques qualités à mon compte.

Elle ne savait pourquoi, mais elle essayait de combler le vide qu’il y avait, du moins, surtout car elle ne savait pas trop quoi faire. Elle marchait dans les allées, fessant glisser sa main sur quelques meubles ici et là. Il lui semblait qu’elle voulait tout savoir, ça ou elle essayait simplement de montrer un intérêt à tout cela… Non, elle essayait tant bien que mal de rendre l’homme à l’aise, pas qu’il ne l’était pas, mais elle le préparait à sa prochaine question, peut-être qu’elle réussirait à poser des questions plus personnelles sans que se soit bien visible. Habituellement, elle n’aimait pas trop la subtilité, mais elle devait une fois de temps en temps arrêter d’être autant franche et sans tact.

-Hum, dites-moi Irish Man, est-ce que vous êtes le seul employé, je ne vois personne d’autre dans le magasin…?

Elle se retourna enfin, voyant le garçon de la tête aux pieds, vu la distance qui les séparait. Elle pouvait maintenant à sa guise percevoir le fond de ses iris bleus. Et lui il pouvait la voir sans lever les yeux. Elle serait sensé aimer le fait de se faire regarder de haut, mais bon, ça ne lui permettait pas de voir les yeux du garçon correctement. Elle cherchait désespérément réponse à ces questions dans le reflet de ses yeux aux couleurs d'eau et de cristal.
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Jim Darach

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MessageSujet: Re: L'appentie-ébéniste [PV Jim]   L'appentie-ébéniste [PV Jim] EmptyJeu 7 Fév - 23:17

Elle était complètement perdu dans ses penser, que cela ne me surprit pas qu’elle n’ait même pas entendu dire quoi que ce soit. Cependant, me mettre sur ses talons la fit réagir. Bien évidemment, je m’étais trop fier à son apparence. Bien que je ne fus pas surprit de son caractère. Elle ne pensait pas venir ici pour un jour d’essais et je la comprenais. C’était peut-être pour cette raison que je n’étais pas informé de sa visite. Elle était surement venue faire du repérage pour voir si l’endroit lui plaisait. Bien que sans le vouloir vraiment, je l’avais offusqué. Bien que dans un sens, ce fut une bonne chose. Grace à ma discourtoisie, je pu au moins voir sa détermination qui ne fut qu’accroitre par mes paroles. Elle s’était diriger, déterminer vers l’arrière-boutique. Elle voulait me prouver qu’elle pouvait bien faire le métier, même si elle était une femme. Je n’avais pas de problème avec les femmes et je ne croyais pas qu’une femme était inférieure à un homme, bien au-delà. Je croyais tout simplement qu’elle était une de ces femmes qui ne voulait rien faire pour briser ses talons ou bien abimer ses ongles. Cependant, son aire et sa façon de parler, me montrais bien qu’elle n’avait mis que ces talons pour son propre plaisir. Je la suivais d’un bout à l’autre de la salle, sans dire mots.

Je pensant, bien que je prêtais tout de même attention à ce qu’elle disait. Mais je ne pouvais m’empêcher de penser à ce pourquoi j’étais devenu ébéniste. Je venais à peine de sortir de l’hôpital. Puis que je ne savais pas où aller et ni qui j’étais, je me promenais dans la ville sur le qui-vive, tentant de me souvenir de quelque chose. Les médecins m’avaient certifié que si je revenais dans un lieu ou bien que je verrais une personne que j’avais déjà connue, ma mémoire pourrait revenir de plus en plus. Il était certes tout de même, que cela ne soit que des fragments de souvenir, mais ces petits fragments deviendrais un jour des images claires et me ferais revenir ce qui était passé dans ma tête autre fois. Bien que ma promenade dura toute la journée, aucun lieu ni personne ne me fit revenir quoi que ce soit. Je m’étais donc arrêter un instant, pensif, jusqu’à ce que je voie une bâtisse non loin de moi, de l’autre côté de la rue. Bien que ce ne fût pas un souvenir, j’avais le sentiment que c’était à cet endroit que je devais aller.

L’endroit me semblait être une petite maison, vu de l’extérieur. Elle portait de grande vitre qui malheureusement, étaient encombré de meuble qui nous empêchait de voir l’intérieur des lieux. Je me dirigeais vers elle, intriguer de ce qu’elle pouvait contenir. Rendu à la porte, je vu une petite fiche à la porte. Heureusement, je n’avais pas perdu ma capacité de lire. De toute manière, les médecins m’avaient affirmé que tous les petites choses, comme préparer la nourriture, lire, écrire et compter, enfin tout ce qu’on a l’habitude de faire depuis longtemps, était les seules choses qu’on ne pouvait pas oublier. J’étais heureux de ne pas à avoir l’obligation de retourné à la maternelle. Malheureusement pour moi, le magasin était fermer à cette heure et n’ouvrais que le lendemain à 10h30. Je nu nul autre choix que de revenir le lendemain.


Le lendemain j’étais entré avec une grande envie de tout voir. J’y avais passé des heures à regarder les meubles ici et là sans jamais m’y lasser. Ce fut après un certain temps qu’un homme vins me voir.

-Vous voulez quelque chose en particulier?, avait-il dit.

-Je n’ai malheureusement pas de maison pour en mettre, avais-je suivi.

-Pour l’emploie alors?

Je m’étais mis à réfléchir à ce moment. Pourquoi j’étais ici? Bien sûr j’étais venu parce que l’endroit m’intriguais, mais pourquoi toute cette attention particulier? Peut-être que c’était ce que je faisais dans la vie, avant que j’ai cette accident? Je regardai donc le monsieur et dit :

-Oui, c’est tout à fait ça.

-Vous avez de l’expérience?, m’avait-il demandé.

-Bien franchement, aucune idée. Mais j’apprends vite.

Je n’avais rien a perdre, vu que c’était déjà le cas. Comme vous vous en doutés surement, il ma prit comme employé. Comme je lui avais dit, j’appris les rudiments du m’étier et habita juste au-dessus de la boutique. Je travaille presque jour et nuit, heureusement pour elle, ce n’était pas ce que je prévoyais pour elle. Bien qu’elle en soit capable, je n’avais pas assez de client pour ça.

-Hum, dites-moi Irish Man, est-ce que vous êtes le seul employé, je ne vois personne d’autre dans le magasin…?

Cela me prit un moment avant de me rendre compte qu’il fallait que je réponde. Elle se tourna vers moi pour en voir ma réponse. Elle était assez distancer de moi, il fallait croire que j’avais pris du retard à cause de mes pensées. Je restais quand même ou j’étais. Le temps que je réponde à sa question, elle me regardait de haut en bas et puis persista a me regardé dans les yeux. Avec toute évidence, elle voulait vraiment avoir ce travail. Pourtant je ne prêtai pas attention à ces manières de femme.

-Je suis le propriétaire des lieux. Désoler pour mes manière tout à l’heure. Je dois dire que je ne m’attendais pas a votre venu, dis-je en mettant la serviette sur mon épaule et tendu la main. Je m’appelle Jimmy Frederick Darach. Vous avez vu juste pour l’endroit d’où je viens.

Je continuai donc la marche vers l’établie.

-Vous pouvez m’appeler Jim, Jimmy ou même Frederick. Je n’ai pas vraiment de problème pour ça. Vous pouvez commencer quand vous voulez. Je vous donnerais des taches ici et là pour commencer. Ça vous va?

J’attendis un moment avant de reprendre.


-Pour l’instant c’est un peu mort. Donc, c’est sure que ce ne sera pas intéressant, mais on s’arrangera pour que ce le sois.

Je lui sourit donc. Il fallait dire aussi qu’on avait partie du mauvais pied. Elle devait penser que j’étais un boss ennuyeux. Pourtant, je ne l’étais pas pour le moindre du monde.
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